Cécile NEURRISSE

Productrice (DOVIDIS)

Présence au festival :
Mercredi 3 au samedi 6 avril

Dovidis est une société de production créée par Pierre Neurrisse en 1950, avec plus d’une centaine de films tous métrages et supports confondus.

Un catalogue marqué par sa diversité : des fictions de jeunes auteurs, telles Paulina s’en va d’André Téchiné (1969) ou Un homme qui dort de Georges Perec et Bernard Queysanne (Prix Jean Vigo 1974), les films de Jacques Davida (Certaines Nouvelles Prix Jean Vigo 79), Pierre Kast, Jacques Rozier, Michel Mitrani, Charles Belmont, Robert Benayoun…

Des documentaires réalisés par les figures phares du cinéma militant, Joris Ivens, Chris Marker, Mario Marret, Jacqueline Meppiel et de nombreuses séries télévisées dont Ateliers en France, portraits d’artistes - Henri Michaux, Zao Wou-Ki, Paul Belmondo, John Levee…

Dovidis devient un carrefour fertile où se croisent, à un titre ou un autre, devant ou derrière les caméras, les formes et les figures de l’avant-garde française et internationale, de Jean Cocteau à Bruno Muel et de Pablo Picasso au peintre américain Walter Coleman.

A la mort du fondateur, la société privilégie la post-production sous la direction de Catherine Poubeau et de ce fait a soutenu et participé à un grand nombre de films césarisés Harry un ami qui vous veut du bien, Ne le dis à personne, La marche de l’empereur césarisé, et Oscar du meilleur film étranger.

Aujourd’hui, la société renoue avec la production sous la direction de la fille du fondateur. Actuellement, la société développe des projets de long métrage en accord avec la ligne directrice originelle. Deux projets sont en développement, basés sur des faits réels – Descending from Heaven écrit par Tom Cole, production euro-américaine et Utopia, une histoire basée sur la vie d’un pionnier français du photojournalisme à Hollywood. Également, Scene Missing, un film d’après des images inédites avec la plupart des stars et metteurs en scène hollywoodiens.

Dovidis est une société de production créée par Pierre Neurrisse en 1950, avec plus d’une centaine de films tous métrages et supports confondus.

Un catalogue marqué par sa diversité : des fictions de jeunes auteurs, telles Paulina s’en va d’André Téchiné (1969) ou Un homme qui dort de Georges Perec et Bernard Queysanne (Prix Jean Vigo 1974), les films de Jacques Davida (Certaines Nouvelles Prix Jean Vigo 79), Pierre Kast, Jacques Rozier, Michel Mitrani, Charles Belmont, Robert Benayoun…

Des documentaires réalisés par les figures phares du cinéma militant, Joris Ivens, Chris Marker, Mario Marret, Jacqueline Meppiel et de nombreuses séries télévisées dont Ateliers en France, portraits d’artistes - Henri Michaux, Zao Wou-Ki, Paul Belmondo, John Levee…

Dovidis devient un carrefour fertile où se croisent, à un titre ou un autre, devant ou derrière les caméras, les formes et les figures de l’avant-garde française et internationale, de Jean Cocteau à Bruno Muel et de Pablo Picasso au peintre américain Walter Coleman.

A la mort du fondateur, la société privilégie la post-production sous la direction de Catherine Poubeau et de ce fait a soutenu et participé à un grand nombre de films césarisés Harry un ami qui vous veut du bien, Ne le dis à personne, La marche de l’empereur césarisé, et Oscar du meilleur film étranger.

Aujourd’hui, la société renoue avec la production sous la direction de la fille du fondateur. Actuellement, la société développe des projets de long métrage en accord avec la ligne directrice originelle. Deux projets sont en développement, basés sur des faits réels – Descending from Heaven écrit par Tom Cole, production euro-américaine et Utopia, une histoire basée sur la vie d’un pionnier français du photojournalisme à Hollywood. Également, Scene Missing, un film d’après des images inédites avec la plupart des stars et metteurs en scène hollywoodiens.